Saturday, July 10, 2010

Supinfo Bordeaux et Toulouse : où s’inscrire pour la rentrée 2010 ? - QUE SE PASSE-T-IL À SUPINFO ? - Letudiant.fr

Source: http://www.letudiant.fr/etudes/ecoles-specialisees/que-se-passe-t-il-a-supinfo-18769/supinfo-bordeaux-et-toulouse-ou-sinscrire-pour-la-rentree-2010-16596.html

DOSSIER : ENQUÊTE : QUE SE PASSE-T-IL À SUPINFO ?



SUPINFO, école pionnière dans la formation de bac + 5 en informatique, connaîtrait-elle de sérieux bugs ? 2 de ses 32 sites régionaux, en conflit avec la direction de l’école, conseillent aux étudiants de ne plus s’inscrire sur le portail centralisé. La mise en place à la rentrée 2009 du e-learning à une large échelle, sans tutorat, est vivement critiquée par des étudiants sur plusieurs forums. Le président de Supinfo est par ailleurs en procès pour des contentieux financiers et sur l’utilisation abusive de la marque avec 3 des 6 franchises signées récemment. Que se passe-t-il exactement à SUPINFO ? Pour vous aider à y voir plus clair, l’Etudiant a enquêté.

Supinfo Bordeaux et Toulouse : où s’inscrire pour la rentrée 2010 ?

Supinfo est toujours en conflit avec ses franchises de Bordeaux et Toulouse. Alors que les deux parties attendent encore les jugements sur le fond dans les nombreux procès qui les opposent, chacune prépare de son côté la rentrée 2010.

Le 12 avril 2010, Sud Ouest Campus, propriétaires des deux franchises a repris l’initiative en annonçant la création de deux établissements d’enseignement supérieur en informatique : Ingésup Bordeaux et Ingésup Toulouse qui "s’appuieront sur le concept dispensé par Supinfo, tout en mettant en place des méthodes pédagogiques mieux pensées et plus exigeantes". "Ingésup ne se substitue pas à Supinfo mais enrichit son offre. Nous délivrerons toujours le diplôme Supinfo et, avec 600 heures de formation complémentaire sur 2 ans, un master technologique spécialisé Ingésup pour les étudiants qui le souhaiteront", explique Lionel Desage.

De son côté, le président de Supinfo, Alick Mouriesse, crie au scandale. "Supinfo ne reconnaît pas Ingésup et n’a pas rejoint Ingésup. (…) Cette structure ne peut pas délivrer de diplôme Supinfo", assène-t-il dans un courrier électronique du 13 avril envoyé à tous les étudiants de l’école. Et d’ajouter : "les étudiants qui souhaitent poursuivre leur cursus à Bordeaux et Toulouse l’année prochaine (…) pourront le faire sans aucune difficulté et dans un contexte identique à celui qui est organisé sur les autres campus Supinfo en France (…) sur un campus vraisemblablement différent de celui d’Ingésup".

Deux établissements devraient donc se faire face à la rentrée à Bordeaux et à Toulouse. Avec une guerre sans merci pour attirer ou retenir les 550 étudiants déjà en cours de cursus. Leurs frais de scolarité sont fixés à 4.990 euros, soit une manne financière de 2,75 millions d’euros. Ingésup demande aux étudiants de s’inscrire directement auprès de lui. Quant à Alick Mouriesse, il prévient : "l’Ecole supérieure d’informatique de Paris (…) ne reconnaît, ne cautionne et ne délègue à aucune structure le droit ou la capacité d’inscrire des étudiants et de leur délivrer son titre. Il n’y a donc qu’un seul moyen d’être certain d’obtenir le seul titre de Supinfo qui soit reconnu, c’est de rester inscrit à Supinfo en passant par la procédure habituelle."

Pas sûr que les étudiants s’y retrouvent. Ils auront, malgré tout, le dernier mot.

Sylvie Lecherbonnier
14 avril 2010

Source: http://www.letudiant.fr/etudes/ecoles-specialisees/que-se-passe-t-il-a-supinfo-18769/supinfo-bordeaux-et-toulouse-ou-sinscrire-pour-la-rentree-2010-16596.html

Diplôme, labos, recrutement… Les promesses de Supinfo - QUE SE PASSE-T-IL À SUPINFO ? - Letudiant.fr

Source: http://www.letudiant.fr/etudes/ecoles-specialisees/que-se-passe-t-il-a-supinfo-18769/diplome-labos-recrutement-les-promesses-de-supinfo-17844.html

DOSSIER : ENQUÊTE : QUE SE PASSE-T-IL À SUPINFO ?



SUPINFO, école pionnière dans la formation de bac + 5 en informatique, connaîtrait-elle de sérieux bugs ? 2 de ses 32 sites régionaux, en conflit avec la direction de l’école, conseillent aux étudiants de ne plus s’inscrire sur le portail centralisé. La mise en place à la rentrée 2009 du e-learning à une large échelle, sans tutorat, est vivement critiquée par des étudiants sur plusieurs forums. Le président de Supinfo est par ailleurs en procès pour des contentieux financiers et sur l’utilisation abusive de la marque avec 3 des 6 franchises signées récemment. Que se passe-t-il exactement à SUPINFO ? Pour vous aider à y voir plus clair, l’Etudiant a enquêté.

Diplôme, labos, recrutement… Les promesses de Supinfo

L’école a-t-elle toujours les moyens de tenir ses promesses vis-à-vis des étudiants ?
Formant des informaticiens à bac +5, l’école Supinfo [via l’association Supinfo, loi 1901] délivre un titre certifié au niveau I. Il est enregistré au RNCP jusqu’en mars 2011. Une certification dont elle devra demander le renouvellement au-delà de cette date. Depuis fin 2008, la marque Supinfo n’est plus portée par l’association mais par la société Educinvest.

Autre pilier de la réputation de l’école auprès des recruteurs : ses partenariats avec les grandes entreprises informatiques (Oracle, Microsoft, IBM…). "Aujourd’hui, ces partenariats sont remis en question, constate un ancien directeur de centre. Certains partenaires les ayant dénoncés et certains autres étant vides de sens". Une inquiétude partagée par un ancien étudiant : "Le labo Microsoft n'est plus là que par sa renommée. Il n'y a plus aucun réel contenu. Les labos Java (en partenariat avec Sun) et Linux (en partenariat avec Mandriva) ont attiré peu de monde. Le laboratoire sécurité, l'an passé, a été l'un des rares à autoriser la publication d'un seul article, tandis que le laboratoire Cisco consiste en 1 ou 2 routeurs donnés par le constructeur".

Des critiques qu’Eric Le Marois, le directeur éducation et recherche de Microsoft France, balaie concernant les deux laboratoires développant ses technologies : "800 étudiants sont impliqués dans le laboratoire dotnet. Et ils utilisent la dernière version de nos plateformes SharePoint 2010. C’est un signe de dynamisme. En février 2010, sur le salon TechDays, Supinfo était très présent, avec une trentaine d’étudiants experts. Il ne faut pas se reposer sur ses lauriers, mais les laboratoires fonctionnent avant tout sur l’animation que peuvent donner les étudiants eux-mêmes."
Côté insertion, pour la directrice de Supinfo Marseille, par ailleurs sur le départ, le recrutement attendu des diplômés après leur stage reste de "100 %", avec "20 % recrutés à l’étranger". Une conséquence de la forte mobilité internationale encouragée par l’école : 500 étudiants français seraient inscrits sur ses sites étrangers.

SUPINFO, une croissance exponentielle
SUPINFO a connu ces 5 dernières années un développement très important de ses effectifs – 6.900 étudiants déclarés – et de ses implantations en France et à l’étranger (Chine, Californie, Maroc, Italie, Belgique, Royaume-Uni, Canada). Elle affiche plus d’une trentaine de sites et compte en proposer "60 à l’horizon 2012" sur son site Internet. L’école n’entend pas en rester là. Son portail annonce que "d'autres développements régionaux et internationaux sont en cours au Brésil, au Costa Rica, aux Emirats Arabes Unis, en Russie, au Danemark, au Mexique, en Espagne et en Italie."

Droit de réponse de Supinfo

A la suite de la publication de notre dossier « Que se passe-t-il à Supinfo ? », Supinfo nous a adressé le droit de réponse qui suit.

« Supinfo est un établissement d’enseignement supérieur privé fondé en 1965. L’école reconnue par l’Etat français depuis 1972, délivre un titre d’expert en informatique et systèmes d’information. Monsieur Alick Mouriesse, ancien élève de Supinfo, en est devenu le président en 1999.

Supinfo est devenue la première école d’informatique en France, à la fois par le nombre d’étudiants qu’elle forme et sa couverture nationale.

Elle innove en matière de pédagogie et d’enseignement, à travers ses laboratoires pédagogiques, son corps professoral et ses solutions technologiques comme Campus-Booster.

Nous nous développons à l’international et avons ouvert des écoles notamment en Chine, au Royaume-Uni et au Canada. L’école encourage en effet la mobilité internationale.

Une enquête TNS-Sofres d’août 2007 classe Supinfo à la troisième place des écoles d’informatique préférées des recruteurs et dans le top 20 national de toutes les écoles d’ingénieurs. Suprinfo jouit d’une excellente image auprès des entreprises, comme en témoigne le président de Microsoft France, parrain de la promotion 2006, qui la qualifie d’ « école prestigieuse ».

Depuis 2009, les établissements sont gérés en France par des entreprises franchisées, selon une répartition géographique. Si nous sommes effectivement en procès avec certains franchisés, nous démentons avoir tenu à leur égard les propos qui nous sont imputés dans cet article. »

La réponse de l’Etudiant

Letudiant.fr a bien contacté Monsieur Alick Mouriesse, président de Supinfo, avant publication de son enquête, et confirme la totalité de son enquête ainsi que les propos qui lui sont imputés.

Si nous laissons à M. Mouriesse la responsabilité de la présentation de son école au sein de ce « droit de réponse », nous devons néanmoins préciser que Supinfo n’est pas une école d’ingénieurs habilitée par la CTI (Commission des titres d’ingénieur).

Fabienne Guimont, avec Sylvie Lecherbonnier
Février 2010


Source: http://www.letudiant.fr/etudes/ecoles-specialisees/que-se-passe-t-il-a-supinfo-18769/diplome-labos-recrutement-les-promesses-de-supinfo-17844.html

Teaching assistants : les limites d’un système ? - QUE SE PASSE-T-IL À SUPINFO ? - Letudiant.fr

Source: http://www.letudiant.fr/etudes/ecoles-specialisees/que-se-passe-t-il-a-supinfo-18769/teaching-assistants-les-limites-dun-systeme-13324.html

DOSSIER : ENQUÊTE : QUE SE PASSE-T-IL À SUPINFO ?



SUPINFO, école pionnière dans la formation de bac + 5 en informatique, connaîtrait-elle de sérieux bugs ? 2 de ses 32 sites régionaux, en conflit avec la direction de l’école, conseillent aux étudiants de ne plus s’inscrire sur le portail centralisé. La mise en place à la rentrée 2009 du e-learning à une large échelle, sans tutorat, est vivement critiquée par des étudiants sur plusieurs forums. Le président de Supinfo est par ailleurs en procès pour des contentieux financiers et sur l’utilisation abusive de la marque avec 3 des 6 franchises signées récemment. Que se passe-t-il exactement à SUPINFO ? Pour vous aider à y voir plus clair, l’Etudiant a enquêté.

Teaching assistants : les limites d’un système ?

Le principe pédagogique de Supinfo est de donner un même emploi du temps aux étudiants de ses différents sites. "Cette programmation simultanée des cours oblige les directeurs régionaux à trouver et recruter des intervenants extérieurs spécialisés dans un domaine disponibles au même moment. Il fallait donc trouver une autre solution. La politique de Supinfo a été de recruter ses propres étudiants", constate un ancien directeur régional qui a tenu a rester anonyme.

De fait, une grande partie des cours de Supinfo est dispensée par des élèves de l’école (essentiellement ceux des 3e, 4e et 5e années), organisée autour de "laboratoires" dédiés à une technologie (labo Apple, labo Microsoft…). Jusqu’à présent, ces élèves-formateurs (Supinfo certified trainer, SCT) dispensaient des cours en échange d’une exonération de frais d’inscription l’année suivante et/ou de l’acquisition de crédits de formation. "La première année, des étudiants dit "formateurs" se déplaçaient sur toute la France pour donner des cours, explique un ancien étudiant ayant suivi les 3 dernières années de l’école. Ces étudiants passionnés ne comptaient pas leurs horaires."

Une grève a menacé l’an passé, certains formateurs dénonçant le remboursement très tardif par l’école de frais de déplacement et de logement. Depuis la rentrée 2009, les élèves qui enseignent doivent prendre le statut d’auto-entrepreneur, sont payés en honoraires et encadrés par des professeurs.

Un autre ancien de Supinfo, qui a enseigné comme "SCT", dénonce de son côté la qualité de la formation reçue précisément pour enseigner aux autres étudiants : "Théoriquement, ces SCT sont au minimum des admis en 3e année. Pour ma part, je suis passé SCT dès la fin de ma première année. Une fois l'année passée c'était à nous, anciens, de former de nouveaux SCT pour remplacer ceux ayant quitté l'école. Ces 3 mois furent les pires que j'ai connus en formation : la direction de Supinfo a accepté tous les postulants sans aucun tri sur les compétences."

Ce système de "teaching assistant" à l’anglo-saxonne est défendu par la direction, qui lui reconnaît cependant quelques lacunes : "Le programme de cours inclut l’entrepreneurship et, avec ce statut, on apprend aux étudiants à piloter une affaire", argumente Alick Mouriesse, qui ajoute quand même que "cette année, certains étudiants n’ont pas reçu de formation pédagogique avant de donner leurs premiers cours. Ils ont été formés depuis."

Droit de réponse de Supinfo

A la suite de la publication de notre dossier « Que se passe-t-il à Supinfo ? », Supinfo nous a adressé le droit de réponse qui suit.

« Supinfo est un établissement d’enseignement supérieur privé fondé en 1965. L’école reconnue par l’Etat français depuis 1972, délivre un titre d’expert en informatique et systèmes d’information. Monsieur Alick Mouriesse, ancien élève de Supinfo, en est devenu le président en 1999.

Supinfo est devenue la première école d’informatique en France, à la fois par le nombre d’étudiants qu’elle forme et sa couverture nationale.

Elle innove en matière de pédagogie et d’enseignement, à travers ses laboratoires pédagogiques, son corps professoral et ses solutions technologiques comme Campus-Booster.

Nous nous développons à l’international et avons ouvert des écoles notamment en Chine, au Royaume-Uni et au Canada. L’école encourage en effet la mobilité internationale.

Une enquête TNS-Sofres d’août 2007 classe Supinfo à la troisième place des écoles d’informatique préférées des recruteurs et dans le top 20 national de toutes les écoles d’ingénieurs. Suprinfo jouit d’une excellente image auprès des entreprises, comme en témoigne le président de Microsoft France, parrain de la promotion 2006, qui la qualifie d’ « école prestigieuse ».

Depuis 2009, les établissements sont gérés en France par des entreprises franchisées, selon une répartition géographique. Si nous sommes effectivement en procès avec certains franchisés, nous démentons avoir tenu à leur égard les propos qui nous sont imputés dans cet article. »

La réponse de l’Etudiant

Letudiant.fr a bien contacté Monsieur Alick Mouriesse, président de Supinfo, avant publication de son enquête, et confirme la totalité de son enquête ainsi que les propos qui lui sont imputés.

Si nous laissons à M. Mouriesse la responsabilité de la présentation de son école au sein de ce « droit de réponse », nous devons néanmoins préciser que Supinfo n’est pas une école d’ingénieurs habilitée par la CTI (Commission des titres d’ingénieur).

Fabienne Guimont, avec Sylvie Lecherbonnier
Février 2010


Source: http://www.letudiant.fr/etudes/ecoles-specialisees/que-se-passe-t-il-a-supinfo-18769/teaching-assistants-les-limites-dun-systeme-13324.html

E-learning : une expérience pédagogique à haut risque - QUE SE PASSE-T-IL À SUPINFO ? - Letudiant.fr

Source:http://www.letudiant.fr/etudes/ecoles-specialisees/que-se-passe-t-il-a-supinfo-18769/e-learning-une-experience-pedagogique-a-haut-risque-16034.html

DOSSIER : ENQUÊTE : QUE SE PASSE-T-IL À SUPINFO ?


SUPINFO, école pionnière dans la formation de bac + 5 en informatique, connaîtrait-elle de sérieux bugs ? 2 de ses 32 sites régionaux, en conflit avec la direction de l’école, conseillent aux étudiants de ne plus s’inscrire sur le portail centralisé. La mise en place à la rentrée 2009 du e-learning à une large échelle, sans tutorat, est vivement critiquée par des étudiants sur plusieurs forums. Le président de Supinfo est par ailleurs en procès pour des contentieux financiers et sur l’utilisation abusive de la marque avec 3 des 6 franchises signées récemment. Que se passe-t-il exactement à SUPINFO ? Pour vous aider à y voir plus clair, l’Etudiant a enquêté.

E-learning : une expérience pédagogique à haut risque

SUPINFO est fondée sur le principe de contenus de cours communs dispensés sur l’ensemble de ses campus. L’année 2009-2010 devait marquer une étape importante, avec le passage au "blended learning" sur sa plateforme Campus-Booster. Le planning des enseignements devait être séquencé entre sessions d’autoformation en e-learning (notamment pour les parties théoriques appelées "foundations") et sessions de cours classiques. Avec l’objectif initial de dispenser un quart des enseignements en e-learning.

Le e-learning, une piste revue et corrigée…

Le mois de prérentrée en cours intensifs, obligatoire pour les étudiants entrant en 2e et 3e années en admission parallèle (près du quart des effectifs), s’est effectué, lui, et pour la première fois, intégralement en e-learning, sans tutorat. Un échec pédagogique, comme le reconnaît la direction de Supinfo. "Le bilan est mauvais. On abandonne le "tout e-learning" de pré-rentrée et le e-learning non monitoré. C’est un échec pédagogique, mais on ne pouvait pas le savoir avant d’avoir essayé. Au second semestre, le e-learning deviendra un complément du cours en face-à-face et il doit avoir une valeur ajoutée", estime Alick Mouriesse.

… mais loin d’être abandonnée

Un revirement alors que l’école a progressivement augmenté ces 5 dernières années la proportion de cours en e-learning. "Des cours, comme le management ou certaines technologies, n’ont pas de pertinence à être dispensés en e-learning", confirme un ancien directeur régional souhaitant garder l’anonymat. Problèmes techniques sur la plateforme maison, auto-formation à domicile sans accompagnement, cours trop peu médiatisés (avec des PowerPoint)… certains étudiants n’ont pas ménagé les critiques (notamment via des forums en ligne), d’autant que le site d’entraînement a connu lui aussi des défaillances techniques en pleine période d’évaluation. Autre conséquence de ce bilan mitigé du e-learning : les cours de "foundations" du premier semestre, comptant initialement pour 20 % des crédits, ne font finalement plus partie de la note.

Droit de réponse de Supinfo

A la suite de la publication de notre dossier « Que se passe-t-il à Supinfo ? », Supinfo nous a adressé le droit de réponse qui suit.

« Supinfo est un établissement d’enseignement supérieur privé fondé en 1965. L’école reconnue par l’Etat français depuis 1972, délivre un titre d’expert en informatique et systèmes d’information. Monsieur Alick Mouriesse, ancien élève de Supinfo, en est devenu le président en 1999.

Supinfo est devenue la première école d’informatique en France, à la fois par le nombre d’étudiants qu’elle forme et sa couverture nationale.

Elle innove en matière de pédagogie et d’enseignement, à travers ses laboratoires pédagogiques, son corps professoral et ses solutions technologiques comme Campus-Booster.

Nous nous développons à l’international et avons ouvert des écoles notamment en Chine, au Royaume-Uni et au Canada. L’école encourage en effet la mobilité internationale.

Une enquête TNS-Sofres d’août 2007 classe Supinfo à la troisième place des écoles d’informatique préférées des recruteurs et dans le top 20 national de toutes les écoles d’ingénieurs. Suprinfo jouit d’une excellente image auprès des entreprises, comme en témoigne le président de Microsoft France, parrain de la promotion 2006, qui la qualifie d’ « école prestigieuse ».

Depuis 2009, les établissements sont gérés en France par des entreprises franchisées, selon une répartition géographique. Si nous sommes effectivement en procès avec certains franchisés, nous démentons avoir tenu à leur égard les propos qui nous sont imputés dans cet article. »

La réponse de l’Etudiant

Letudiant.fr a bien contacté Monsieur Alick Mouriesse, président de Supinfo, avant publication de son enquête, et confirme la totalité de son enquête ainsi que les propos qui lui sont imputés.

Si nous laissons à M. Mouriesse la responsabilité de la présentation de son école au sein de ce « droit de réponse », nous devons néanmoins préciser que Supinfo n’est pas une école d’ingénieurs habilitée par la CTI (Commission des titres d’ingénieur).

Fabienne Guimont, avec Sylvie Lecherbonnier
Février 2010


Source: http://www.letudiant.fr/etudes/ecoles-specialisees/que-se-passe-t-il-a-supinfo-18769/e-learning-une-experience-pedagogique-a-haut-risque-16034.html

Inscriptions à SUPINFO : à qui se fier ? - QUE SE PASSE-T-IL À SUPINFO ? - Letudiant.fr

Source: http://www.letudiant.fr/etudes/ecoles-specialisees/que-se-passe-t-il-a-supinfo-18769/inscriptions-a-supinfo-a-quel-saint-se-fier-17040.html

DOSSIER : ENQUÊTE : QUE SE PASSE-T-IL À SUPINFO ?


SUPINFO, école pionnière dans la formation de bac + 5 en informatique, connaîtrait-elle de sérieux bugs ? 2 de ses 32 sites régionaux, en conflit avec la direction de l’école, conseillent aux étudiants de ne plus s’inscrire sur le portail centralisé. La mise en place à la rentrée 2009 du e-learning à une large échelle, sans tutorat, est vivement critiquée par des étudiants sur plusieurs forums. Le président de Supinfo est par ailleurs en procès pour des contentieux financiers et sur l’utilisation abusive de la marque avec 3 des 6 franchises signées récemment. Que se passe-t-il exactement à SUPINFO ? Pour vous aider à y voir plus clair, l’Etudiant a enquêté.

Inscriptions à SUPINFO : à qui se fier ?

A SUPINFO, les pré-inscriptions sont ouvertes pour demander une admission en 1re, 2e ou 3e année. Les candidats doivent formuler en ligne un vœu pour l’un des sites de l’école, sachant que certains, comme ceux de San Francisco ou de Montréal, sont très demandés. Et s’acquitter, dès la pré-inscription, de 1.000 € des 5.000 € que coûte une année d’études.

"Site officiel d’admission" contre "Inscriptions officielles"

Une formalité classique dans cette école privée pour réserver sa place, sauf que, cette année, un message alerte ainsi les étudiants : "ATTENTION : SUPINFO ne dispose que d'un seul site officiel d'admission en ligne pour l'inscription sur tous ses campus en France et dans le monde, quelle que soit la ville : enrolment.supinfo.com. Toute existence d'autres sites non officiels et notamment de sites dédiés à un campus ou à une ville n'est en aucun cas sous la responsabilité de SUPINFO. Aucun étudiant s'inscrivant sur des sites non officiels ne pourra prétendre à une admission à SUPINFO et obtenir le seul titre reconnu par l'Etat de SUPINFO."

Le message, répété à plusieurs endroits du site, fait référence aux sites Web de Bordeaux et Toulouse qui renvoient les étudiants vers un site d’inscription régional. "Les admissions 2010 sont ouvertes ! (…) Désormais, les inscriptions officielles pour le campus SUPINFO Bordeaux se font exclusivement sur ce site régional", annonce ainsi le site bordelais à l’instar de son homologue toulousain. De quoi s’y perdre pour les (futurs) étudiants de ces écoles…

Franchiseur contre franchisés

"Site officiel d’admission" contre "Inscriptions officielles" : quel litige se cache derrière cette guerre d’appellations ? Plusieurs contentieux financiers et juridiques opposent la SOC (Sud Ouest Campus), propriétaire des franchises de Bordeaux et Toulouse d’une part, à la société Educinvest, gérant la marque Supinfo et propriété à 100 % du président de Supinfo, Alick Mouriesse d’autre part.

"À nos étudiants de Bordeaux et de Toulouse, nous déconseillons fortement de s’inscrire pour l’année prochaine sur le site de Supinfo, affirme Lionel Desage, responsable de Supinfo Bordeaux au sein de la SOC. Car si dans les mois qui viennent la situation empirait, nous ne pourrons pas les rembourser puisque cet argent ne rentre pas dans nos caisses. S’ils veulent venir chez nous, il faut qu’ils s’inscrivent auprès de nos écoles, mais pour l’instant sans verser d’argent." Avant d’ajouter : "Les étudiants sont encore un peu partagés et ne savent pas quoi penser. Mais les parents, eux, ont très bien compris qu’il s’agit d’un système de cavalerie. Il mène tout le monde au fond du gouffre pour sauver sa peau".
Mis ainsi en cause, Alick Mouriesse, lui, dénonce des prises d’indépendance coupables de la part de ces sites franchisés et affirme que "la SOC fait croire que Educinvest est sur le flanc. C’est faux. On ne veut pas donner cet argent à la SOC [voir encadré] alors qu’elle est dans une logique de torpillage, en détournant notre clientèle vers ses sites et en nuisant à notre réputation".

Des étudiants dans l’incertitude

Ce conflit ouvert entre franchiseur et franchisés laisse les quelque 600 étudiants des sites de Bordeaux et Toulouse et les futurs candidats dans l’incertitude. Initialement fixée au 18 février 2010, la date limite des pré-inscriptions a été prorogée par la direction de Supinfo jusqu’au 15 mai 2010.

Bordeaux et Toulouse : deux franchisés en contentieux
Les contrats de franchises de Bordeaux et Toulouse ont été dénoncés en décembre 2009 par Educinvest - 9 mois seulement après leur signature - l’école Supinfo invoquant notamment le déménagement des locaux depuis (lire l'enquête d'Educpros). La SOC, propriétaire des deux franchises, réclame en outre le paiement d’1,3 million d’euros dus selon elle par Educinvest en compensation d’une partie des frais d’inscription perçus directement par le siège et non reversés à ce jour. Le tribunal de commerce de Paris lui a donné raison le 24 décembre 2010, mais la SOC n’a pas pu recouvrer sa créance. Un appel de la part d’Educinvest est en cours. Un autre procès doit se prononcer, lui, sur la résiliation des deux contrats de franchise.

Droit de réponse de Supinfo

A la suite de la publication de notre dossier « Que se passe-t-il à Supinfo ? », Supinfo nous a adressé le droit de réponse qui suit.

« Supinfo est un établissement d’enseignement supérieur privé fondé en 1965. L’école reconnue par l’Etat français depuis 1972, délivre un titre d’expert en informatique et systèmes d’information. Monsieur Alick Mouriesse, ancien élève de Supinfo, en est devenu le président en 1999.

Supinfo est devenue la première école d’informatique en France, à la fois par le nombre d’étudiants qu’elle forme et sa couverture nationale.

Elle innove en matière de pédagogie et d’enseignement, à travers ses laboratoires pédagogiques, son corps professoral et ses solutions technologiques comme Campus-Booster.

Nous nous développons à l’international et avons ouvert des écoles notamment en Chine, au Royaume-Uni et au Canada. L’école encourage en effet la mobilité internationale.

Une enquête TNS-Sofres d’août 2007 classe Supinfo à la troisième place des écoles d’informatique préférées des recruteurs et dans le top 20 national de toutes les écoles d’ingénieurs. Suprinfo jouit d’une excellente image auprès des entreprises, comme en témoigne le président de Microsoft France, parrain de la promotion 2006, qui la qualifie d’ « école prestigieuse ».

Depuis 2009, les établissements sont gérés en France par des entreprises franchisées, selon une répartition géographique. Si nous sommes effectivement en procès avec certains franchisés, nous démentons avoir tenu à leur égard les propos qui nous sont imputés dans cet article. »

La réponse de l’Etudiant

Letudiant.fr a bien contacté Monsieur Alick Mouriesse, président de Supinfo, avant publication de son enquête, et confirme la totalité de son enquête ainsi que les propos qui lui sont imputés.

Si nous laissons à M. Mouriesse la responsabilité de la présentation de son école au sein de ce « droit de réponse », nous devons néanmoins préciser que Supinfo n’est pas une école d’ingénieurs habilitée par la CTI (Commission des titres d’ingénieur).

Fabienne Guimont, avec Sylvie Lecherbonnier
Février 2010


Source: http://www.letudiant.fr/etudes/ecoles-specialisees/que-se-passe-t-il-a-supinfo-18769/inscriptions-a-supinfo-a-quel-saint-se-fier-17040.html

SUPINFO dans la tourmente - QUE SE PASSE-T-IL À SUPINFO ? - Letudiant.fr

Source: http://www.letudiant.fr/etudes/ecoles-specialisees/que-se-passe-t-il-a-supinfo-18769/supinfo-dans-la-tourmente-16364.html

SUPINFO, école pionnière dans la formation de bac + 5 en informatique, connaîtrait-elle de sérieux bugs ? 2 de ses 32 sites régionaux, en conflit avec la direction de l’école, conseillent aux étudiants de ne plus s’inscrire sur le portail centralisé. La mise en place à la rentrée 2009 du e-learning à une large échelle, sans tutorat, est vivement critiquée par des étudiants sur plusieurs forums. Le président de Supinfo est par ailleurs en procès pour des contentieux financiers et sur l’utilisation abusive de la marque avec 3 des 6 franchises signées récemment. Que se passe-t-il exactement à SUPINFO ? Pour vous aider à y voir plus clair, l’Etudiant a enquêté.

SUPINFO dans la tourmente

Les sites, comptes Twitter, blogs, critiquant, voire dénonçant la politique menée à Supinfo, se sont multipliés ces derniers mois. Derrière ces façades virtuelles, certains s’affichent ouvertement, comme le site rassemblant les propriétaires des campus franchisés de Toulouse, Bordeaux et du Maroc. Le site entend dénoncer ce qu’il qualifie de "système Alick Mouriesse" [le président de Supinfo] et ses "dérives" pédagogiques ("cours on line non préparés", "inscriptions sans véritable validation du niveau d’entrée", "pré-inscriptions 9 mois en avance", étudiants "bêta-testeurs"…). D’autres, anonymes, se présentent comme ceux d’étudiants ou d’anciens étudiants.

Contacté par l’Etudiant, Alick Mouriesse, le président de l’école, dénonce pêle-mêle "une association de malfaiteurs", "des gens cachés derrière un bad buzz", "des attaques sévères qui n’ont que l’objectif de nuire en interne et en externe [à l’école]". Des attaques qui, selon lui, se multiplient à mesure que l’école s’agrandit : en 10 ans, elle est en effet passée de 200 à 6.900 étudiants. Alick Mouriesse a engagé plusieurs procédures en justice.

Il y voit également en sous-main la patte d’une concurrence déloyale de la part du Groupe Ionis, qui, selon lui, aurait débauché 3 de ses anciens directeurs régionaux (Strasbourg, Bordeaux, Toulouse). Un procès pour concurrence déloyale est en cours contre l’un d’eux. Le vice-président exécutif de Ionis Education Group, Fabrice Bardèche, trouve l’accusation facile : "Il s’agit plutôt de salariés de Supinfo qui ont fait acte de candidature chez nous".

Notre enquête a donc cherché à en savoir plus, en donnant la parole aux détracteurs de SUPINFO et à son directeur, Alick Mouriesse.

Droit de réponse de Supinfo

A la suite de la publication de notre dossier « Que se passe-t-il à Supinfo ? », Supinfo nous a adressé le droit de réponse qui suit.

« Supinfo est un établissement d’enseignement supérieur privé fondé en 1965. L’école reconnue par l’Etat français depuis 1972, délivre un titre d’expert en informatique et systèmes d’information. Monsieur Alick Mouriesse, ancien élève de Supinfo, en est devenu le président en 1999.

Supinfo est devenue la première école d’informatique en France, à la fois par le nombre d’étudiants qu’elle forme et sa couverture nationale.

Elle innove en matière de pédagogie et d’enseignement, à travers ses laboratoires pédagogiques, son corps professoral et ses solutions technologiques comme Campus-Booster.

Nous nous développons à l’international et avons ouvert des écoles notamment en Chine, au Royaume-Uni et au Canada. L’école encourage en effet la mobilité internationale.

Une enquête TNS-Sofres d’août 2007 classe Supinfo à la troisième place des écoles d’informatique préférées des recruteurs et dans le top 20 national de toutes les écoles d’ingénieurs. Suprinfo jouit d’une excellente image auprès des entreprises, comme en témoigne le président de Microsoft France, parrain de la promotion 2006, qui la qualifie d’ « école prestigieuse ».

Depuis 2009, les établissements sont gérés en France par des entreprises franchisées, selon une répartition géographique. Si nous sommes effectivement en procès avec certains franchisés, nous démentons avoir tenu à leur égard les propos qui nous sont imputés dans cet article. »

La réponse de l’Etudiant

Letudiant.fr a bien contacté Monsieur Alick Mouriesse, président de Supinfo, avant publication de son enquête, et confirme la totalité de son enquête ainsi que les propos qui lui sont imputés.

Si nous laissons à M. Mouriesse la responsabilité de la présentation de son école au sein de ce « droit de réponse », nous devons néanmoins préciser que Supinfo n’est pas une école d’ingénieurs habilitée par la CTI (Commission des titres d’ingénieur).

Fabienne Guimont, avec Sylvie Lecherbonnier
Février 2010


Source: http://www.letudiant.fr/etudes/ecoles-specialisees/que-se-passe-t-il-a-supinfo-18769/supinfo-dans-la-tourmente-16364.html

ALICK MOURIESSE, "MEGALOMANE" BIEN MALGRE... LOUIS

Source: http://www.bondamanjak.com/martinique/28-a-la-une/3710-alick-mouriesse-qmegalomaneq-bien-malgre-louis.html



Dimanche 21 octobre 2007, Antilles Télévision (ATV) diffusait l'émission le Club. Invité : Alick Mouriesse président de SUPINFO. Le sieur est un habitué de ce plateau puisque en un peu plus de deux ans...c'est la deuxième fois qu'il vient fasciner cette brochette de journalistes complètement et symboliquement accrochée à ses lèvres. AM parle bien, il est propre sur lui, c'est même un exemple de réussite à suivre...on peut le dire sans se tromper. Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes quand, l'animateur Patrice Louis, las de cette fascination ambiante décide de manger du cirage pour briller en public. Aussi, il traite l'invité de mégalomane.Le mot est lâché mais Alick Mouriesse qui avait jusque là fait montre de son humilité ne prend pas la blague. Il rectifie le tir en refusant ce traitement cherchant à ternir son image...le soucis est tellement présent chez lui qu'il insiste plus de trois fois. Mais le mal est fait, Patrice Louis n'a pas pu contrôler voire maîtriser sa structure mentale, les icônes connes qui y habitent et les notifications pigmentaires qui la gangrènent. Sans commentaire mais comment taire ?

Source: http://www.bondamanjak.com/martinique/28-a-la-une/3710-alick-mouriesse-qmegalomaneq-bien-malgre-louis.html